Même s’il devient de plus en plus courant de rédiger un projet de naissance détaillé, on n’est pas à l’abri de voir ses souhaits d’accouchement frustrés. Du 15 au 22 mai, c’est la semaine mondiale pour l’accouchement respecté. L’occasion de s’interroger sur le respect des souhaits des jeunes mamans.C’est une organisation française qui est à l’origine de cette initiative.
L’Alliance française pour l’accouchement respecté (AFAR), association française indépendante, a lancé la première édition en 2004. Il n’a pas fallu attendre longtemps pour faire de cette semaine mondiale une institution pour les professionnels de santé.
Accoucher où je veux, comme je veux
L’objectif cette semaine mondiale : une réflexion collective sur les meilleurs moyens de respecter les parents et les enfants, « de promouvoir toutes les professions liées à la naissance et de faire progresser les pratiques et les mentalités dans le domaine de l’obstétrique et de la psychiatrie maternelle et infantile ».
Cette année, le thème est : « Accoucher selon mon choix du lieu, de la manière et des accompagnateurs ». De nombreux séminaires, colloques et groupes de réflexion se réuniront pour soulever les nouvelles problématiques de l’accouchement respecté.